« Cet essai brillant et pointu démontre comment nous sommes en train de laisser une part de notre pouvoir de décision à des flux électroniques intelligents. [...] L'homme ne gère plus, il délègue. En témoigne son attachement fétichiste au smartphone, devenu "un tout sans trou, appelé à couvrir l'intégralité des séquences de la vie quotidienne". Au minimum s'installe une "humanité parallèle" chargée de prendre en main une bonne part de nos vies. Un réseau froid, calculateur, dépourvu de sentiment et de conscience. Pour le moment. »