Le nouveau volume de Brasero allume quelques beaux contre-feux historiques qui ne déçoivent pas dans la continuité du premier numéro. La revue se caractérise par son éclectisme. Les thèmes proposés sont souvent passionnants. Les signatures, régulièrement croisés dans la mouvance libertaire.

Brasero est donc une autre Histoire. Elle passe par des articles sur l'enfance fugueuse et parfois abandonnée dans la littérature de la IIIe République naissante. Ces enfants représentent à la fois une forme de refus de l'ordre social mais aussi pour les pouvoirs publics une inquiétude croissante. On croise également des brigands portugais dont Charles Reeve montre qu'ils ont constitué une menance pour l'ordre social (...).

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